Même si certaines actions entrent dans mes convictions il n'en est pas moins que d'autres actions sont sous faux drapeaux et c'est bien le financement de ce mouvement qui en dit long sur leurs vrais bus dans notre société qui nous laisse penser qu'elles œuvrent pour ce nouvel ordre mondial sous couvert de nos institutions nationales pour arriver à leur "faim".
Les Femen qui sont-elles?
Que veulent-elles?
Quels sont leurs pouvoirs?
Qui les protège?
Qui les finances?
0000 00 00 Présentation.
Femen est un groupe féministe d'origine ukrainienne, fondé à Kiev en 2008 par Anna Hutsol, son actuelle présidente, Oksana Chatchko et Alexandra Chevchtchenko.
Le groupe devient internationalement connu en organisant des actions, essentiellement seins nus, dans le but de défendre les droits des femmes, ce qui le conduit aussi à s'impliquer sur plusieurs autres sujets, notamment pour la démocratie et contre la corruption, la prostitution ou encore l'influence des religions dans la société, au départ uniquement dans l'Ukraine post-soviétique.
Les militantes de Femen sont ainsi adeptes volontaires d'un féminisme radical qu'elles appellent « sextrémisme ». Le mouvement Femen s'affirme athée, antireligieux, et reproche à la laïcité d'être « une façon d'accepter l'inacceptable ».
Le mouvement Femen est tantôt associé à la troisième vague féministe, tantôt considéré comme un élément de ce qui pourrait être une « quatrième vague féministe », à l'instar du mouvement SlutWalk (« marche des salopes ») qui a débuté au Canada en 2010, ou encore inscrit dans une lignée post-féministe représentative de l'asservissement et de la propriété publique du corps des femmes, et ce, jusque dans leurs luttes.
Les Femen sont également l'objet de nombreuses critiques, tant pour leurs méthodes que pour leurs messages et leurs sources de financement, émises par des personnes ou groupes aux prises de position socio-politiques très diverses.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Femen
- Ce n'est pas dans mes habitudes de commencer par du Soral, mais comme d'ab il a une analyse très historique du mouvement des Femen, à regarder et écouter comme mise en bouche d'un mouvement sodomite qui oeuvre pour le nouvel ordre mondial de l'Empire sioniste...
2016 05 14 Des Femen perturbent une conférence de Tariq Ramadan au Bourget.
Des Femen ont perturbé, seins nus, une conférence de l'islamologue suisse controversé Tariq Ramadan, samedi 14 mai lors du grand rassemblement musulman annuel du Bourget, près de Paris, a-t-on appris auprès des militantes et de l'organisation.
Sur une vidéo transmise à l'AFP par les Femen (à voir en tête d'article), on voit une femme vêtue d'une abaya (tunique longue laissant apparaître le visage) s'approcher de Tariq Ramadan, qui s'exprimait dans le cadre d'un café-débat sur le thème "L'islam politique existe-t-il?" à l'occasion de la 33e Rencontre annuelle des musulmans de France qui se tient dans cette ville de Seine-Saint-Denis.
Arrivée à quelques mètres de cette personnalité aussi populaire que contestée, la jeune femme a ôté sa tenue pour dévoiler sa poitrine nue. Elle a été rejointe par trois autres militantes aux torses également dévêtus, qui ont scandé "Allah is not a politician" (Allah n'est pas un homme politique), avant que le service d'ordre ne les dirige vers la sortie.
Dans un communiqué, l'organisation féministe, habituée à ce genre d'actions, a expliqué qu'elle "proteste contre la venue de prédicateurs intégristes lors d'un rassemblement visant à politiser les musulmans de France sous l'égide des Frères musulmans".
"Notre but est de s'opposer aux ambitions politiques de l'islam", a expliqué à l'AFP Inna Shevchenko, porte-parole des Femen à Paris.
"Elles veulent faire le buzz"
"C'est un non-incident", a ensuite dit à l'AFP Tariq Ramadan, tout sourire et escorté par plusieurs membres de la sécurité à travers le congrès. Il devait participer dans la journée à d'autres débats.
Petit-fils du fondateur des Frères musulmans, l'Egyptien Hassan El-Banna, Tariq Ramadan est accusé par ses détracteurs de manier un double discours et de promouvoir en sous-main un islam politique. L'intéressé, qui souhaite obtenir la nationalité française, affirme, quant à lui, adhérer aux "valeurs de la République".
"On s'y attendait, elles veulent faire le buzz", a indiqué un responsable de l'organisation de la rencontre du Bourget, ajoutant: "On les a raccompagnées calmement vers la sortie".
Organisée chaque année par l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), la rencontre du Bourget est le plus grand rassemblement annuel musulman d'Europe, réunissant environ 50.000 visiteurs.
Si l'UOIF gravite dans l'orbite européenne de la confrérie égyptienne des Frères musulmans, matrice d'un islam très politique, le président de l'organisation française, Amar Lasfar, affirme s'en démarquer et vouloir "contribuer à l'apaisement de la société".
En septembre, deux militantes Femen avaient perturbé un salon consacré à la femme musulmane à Pontoise dans le Val-d'Oise.
2015 09 13 Des Femen perturbent le salon musulman de Pontoise
Juste avant qu’elles ne perturbent le déroulement des événements, l’un des intervenants, Nader Abou Anas délivrait sa vision du rôle de la femme dans l’islam. “Craignez Allah dans votre comportement à l’égard des femmes. Comportez-vous avec elles convenablement”, lance-t-il devant près de 500 personnes et le micro de RTL. Inna Shevchenko, porte-parole des Femen à Paris, a affirmé à l’AFP que les “deux imams étaient en train de parler de la question de savoir s’il faut battre ou non sa femme”.
Rouée de coups
Pendant que des “sales putes, il faut les tuer” se faisaient entendre dans la salle, selon les constations de l’AFP, le service d’ordre du salon a rapidement maîtrisé les deux femmes, originaires d’Algérie et de Tunisie. “Une quinzaine d’hommes ont sauté sur la scène et leur sont tombées dessus”, a commenté Inna Shevchenko. Un journaliste de Buzzfeed affirme par ailleurs qu’une des Femen a été rouée de coups à cette occasion, ce que semble confirmer une vidéo de l’agence Ruptly.
Au bout de quelques minutes, la police est arrivée sur les lieux pour procéder à l’interpellation des deux femmes, “entendues samedi soir”, selon le parquet de Pontoise. Leur garde à vue a été “levée dans la nuit” mais les autorités vont “poursuivre l’enquête et les auditions pour savoir ce qui s’est passé”. Les organisateurs du salon musulman ont en tout cas annoncé leur intention de porter plainte.
Un salon controversé
Le public, composé majoritairement de familles musulmanes, était sous le choc. “Elles seraient montées habillées, on serait en train de les écouter. Mais là, elles se sont déshabillées et font honte à la communauté. On n’a rien compris. On ne sait même pas ce qu’elles voulaient. Elles ont juste fait peur aux enfants“, a déploré une spectatrice au micro de RTL.
Cette troisième édition controversée du salon musulman, qui se poursuit dimanche 13 septembre et met “la femme à l’honneur”, était visé par une pétition réclamant son interdiction. Plus de 6.000 signatures ont été recueillies sur le site change.org. L’instigateur de cet appel au boycott dénonçait la présence de “prédicateurs fondamentalistes”, notamment Nader Abou Anas, “connu pour avoir légitimé le viol conjugal et plus largement la soumission de la femme”.
2015 05 01 Le défilé du FN perturbé par les Femen
Postées à un balcon qui surplombe la place de l'Opéra, trois militantes Femen ont perturbé vendredi le discours annuel de Marine Le Pen qui a dû cesser de parler en attendant que son service d'ordre les évacue sans ménagement.«Décidément, ce 1er mai est plein de surprises», a réagi la présidente du Front national, quelques minutes après que son père Jean-Marie Le Pen a ostensiblement quitté le rassemblement avant que celle-ci ne prenne la parole.
Les trois militantes féministes ont multiplié les saluts brandis en hurlant «Heil Marine». Deux banderoles rouges rappelant l'imagerie nazie étaient déployées le long du balcon où elles étaient postées. La foule les a huées et leur a jeté des projectiles.
Face au trouble provoqué par leur irruption, Marine Le Pen a dû interrompre son discours pendant de longues minutes.
2014 12 22 Qui soutiens la pétition parut sur Libération?
Une tribune est parue dans Libération le 22 décembre 2014 pour demander la révision de la loi sur l’exhibition sexuelle. Elle a été signée par : Christine Bard historienne, Karima Delli députée européenne EELV, Isabelle Alonso écrivaine, Océane Rose Marie comédienne et metteure en scène, Emilie Jouvet réalisatrice et photographe, Christine Delphy sociologue et chercheure au CNRS, Osez le Féminisme !, Didier Porte journaliste et humoriste, Marie-Noëlle Bas présidente des Chiennes de Garde, Les ef-FRONT-é-e-s association féministe et LGBT, Virginie Despentes écrivaine et réalisatrice, Martine Billard Secrétaire Nationale du Parti de Gauche, Giulia Foïs journaliste et auteure, Eva Darlan comédienne et Amandine Miguel porte-parole de l'Inter-LGBT.
Le texte a également reçu le soutien de La Barbe groupe d’action féministe, Francine Bavay élue EELV au Conseil régional d’Ile-de-France, Anny Poursinoff ancienne responsable de la commission femme des Verts, Florence Montreynaud écrivaine et fondatrice des Chiennes de Garde, Odile Fillod chercheure indépendante, Marie-Claire Thomas Présidente de la Communauté de communes du pays de Lure et François Soulabaille porte-parole de EELV Paris.
2014 12 27 Une femme peut-elle montrer ses seins comme un homme son torse ?
Des seins nus peuvent-ils être dénués de tout érotisme ? N’y a-t-il aucune différence entre le torse nu d’une femme et celui d’un homme ? C’est ce que défend l’ancienne militante des Femen Éloïse Bouton, 31 ans, condamnée mercredi 17 décembre par le tribunal correctionnel de Paris à un mois de prison avec sursis pour exhibition sexuelle. « Dire qu’il y a une différence témoigne d’une vision dépassée dans une société qui doit être égalitaire », affirme Mme Bouton.
Elle avait, le 20 décembre 2013, montré ses seins nus dans l’église de la Madeleine à Paris. L’image avait provoqué un tollé : vêtue seulement d’un pantalon noir et d’un voile bleu, elle s’était plantée les bras en croix devant l’autel, un foie de bœuf sanguinolent dans chaque main, afin d’évoquer « le fœtus avorté du Christ ». Cette action visait à dénoncer la position anti-avortement de l’Eglise catholique. Le tribunal a condamné Mme Bouton à verser 2 000 euros de dommages et intérêts et 1 500 pour frais de justice au curé de la Madeleine.
La nudité, une arme politique
Cette dernière a riposté en lançant une pétition afin de faire « préciser » le délit d’exhibition sexuelle. Paru le 22 décembre dans Libération (Qui sont derrière Libération), le texte, relayé par l’association Femen, est en ligne sur le site Avaaz.org (Qui sont derrière Avaaz.org). Les signataires estiment que le délit d’exhibition sexuelle est trop flou, discriminatoire, et ne place pas hommes et femmes sur un pied d’égalité. Ce délit est constitué quand un rapport sexuel est montré, un geste obscène effectué, ou une partie sexuelle du corps exhibée. Le débat porte sur le dernier point : les seins sont-ils une partie sexuelle du corps ? « A l’évidence oui, avait affirmé lors de l’audience, en octobre, Me Laurent Delvolvé, qui représentait le curé de la Madeleine. Quand il est palpé contre la volonté de la femme, c’est une agression sexuelle. »
Au contraire, pour Mme Bouton, et pour les Femen, la nudité est une arme politique – même si les militantes ne peuvent ignorer que c’est l’aspect provocateur de leurs poitrines dénudées qui leur vaut un suivi médiatique assidu. La dernière condamnation pour exhibition sexuelle en France remonte à 1965. Une jeune fille avait été reconnue coupable d’outrage à la pudeur pour avoir joué seins nus au ping-pong sur la Croisette à Cannes. Une activité éloignée du militantisme féministe…
Lire aussi : Les méthodes des Femen en procès
« La France est le premier et unique pays dans le monde qui condamne des Femen pour exhibitionnisme », ajoute le mouvement Femen dans une lettre adressée à la garde des sceaux, Christiane Taubira. L’avenir du mouvement est en jeu : si la condamnation est confirmée, toutes les actions des Femen pourraient l’être aussi. Les élus EELV Karima Delli et Francine Bavay, la secrétaire nationale du Parti de gauche Martine Billard, la chercheuse Christine Delphy, les humoristes Didier Porte et Océane Rose Marie, des militantes féministes et des associations ont signé la pétition. Mme Bouton a fait appel de sa condamnation.
Source : http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/12/27/une-femme-peut-elle-montrer-ses-seins-comme-un-homme-son-torse_4546701_3224.html
2014 05 19 Caroline Fourest : “Les Femen ne sont pas nazies !” Bon, enquêtons alors…
http://www.les-crises.fr/caroline-fourest-les-femen-ne-sont-pas-nazies-ah-bon/#!prettyPhoto
2014 02 14 Soumission, discrimination : une ex-Femen raconte les coulisses du mouvement.
Une ancienne militante livre des témoignages "choc" dans plusieurs médias. Elle dénonce "une organisation qui fait penser à une dictature"
Une ex-Femen : "il n'y pas de respect"
Elle se fait appeler Alice (prénom d'emprunt). Elle est trentenaire, habite Paris. Après 18 mois de militantisme aux Femen, elle a décidé d'écrire un livre et de témoigner dans les médias des coulisses du mouvement féministe.
D'abord dans Le Figaro, où elle évoque une "soumission" au mouvement. "Tu acceptes lentement une soumission que tu refuses à l'extérieur. Tu étais venue pour combattre quoi déjà? Ah oui ! La soumission des femmes sous couvert de patriarcat", dit-elle. Et "tu gagnes quoi? Le droit de te dire le soir quand tu rentres chez toi seule, que tu t'es battue pour une liberté à laquelle tu n'as toi-même pas droit".
"Tu n'existes plus en tant qu'individu", "tu ne penses plus par toi-même mais par le groupe, tu ingurgites ce qu'on t'apprend", poursuit-elle.
Sur France Info, elle dénonce une discrimination au sein du mouvement : "Quand Femen dit 'vous pouvez être activiste, que vous soyez petites, grosses, vieilles ou jeunes', ce n'est pas vrai". Selon Alice, des militantes sont écartées de certaines actions sans explication. Elle évoque également un manque de respect à l'intérieur du groupe : "on sort quand même torse-nu affronter des CRS, des fachos, des intégristes, la moindre des choses c'est quand même qu'on soit un minimum soudées, et qu'on se respecte entre nous et ça c'est quelque chose qui n'existe pas".
"Il n'y a pas de violence verbale, c'est quelque chose de plus latent. C'est de la négligence par rapport aux gens", poursuit-elle sur Europe 1. "Apprendre qu'une action vient d'être faite par Facebook ou BFM, c'est un peu chiant quand on s'investit à hauteur de dévotion. Comment doit-on se sentir quand on nous utilise une heure et qu'on nous ignore la seconde d'après ?", disait-elle mardi au Figaro.
Les chefs de bande traitent leurs recrues comme de la chair à canon
La trentenaire a choisi de témoigner anonymement, sa voix est déformée à la radio. "Je n'ai pas envie que les Femen me reconnaissent", dit-elle à France Info. Mais, elle assure, sur Europe 1, que ce n'est pas par crainte de représailles.
Parfois, suivant les médias, sa version varie. Selon Le Figaro, elle aurait avoir participé à l'action de Notre-Dame-de-Paris l'année dernière. Elle dément sur Europe 1. Alors qu'elle décrit des méthodes sectaires au quotidien national, elle refuse ce qualificatif à la radio. "Ce n'est pas du tout un groupe sectaire. C'est totalement faux". À l'AFP, en revanche, elle parle "d'une organisation qui fait penser à une dictature avec des règles qui s'appliquent à certaines mais pas à d'autres".
Alice serait en train de préparer un livre - qui pourrait sortir dans quelques semaines - pour dénoncer ces Femen "qui ne respectent pas les femmes" et "les chefs de bande qui traitent leurs recrues comme de la chair à canon", dit son agent littéraire Omri Ezrati au Figaro.
En février 2013, le mouvement revendiquait une cinquantaine de membres dans les colonnes du Monde. Selon Alice, les Femen seraient désormais une vingtaine : "beaucoup ont quitté le mouvement"
Femen répond : "Oui, l'atmosphère est martiale"
"on ne va pas chez Femen comme on va au yoga le dimanche après-midi.
La chef de file du mouvement, Inna Shevchenko, lui répond dans une tribune publiée sur le Huffington Post : "Cette femme (...) raconte qu'il existe une hiérarchie au sein du mouvement et que l'atmosphère n'y est pas très amicale. Je ne démentirai pas ces informations", rétorque-t-elle. "Femen n'est pas une bande de potes, mais un groupe militant. Nous sommes unies, non pas pour sortir boire des verres, mais pour se battre. L'atmosphère est martiale. Oui, nous avons une hiérarchie affirmée (...) qui nous permet de mener à bien des opérations complexes".
Interrogée par France Info, Pauline, militante aux Femen, assume : "oui il y a une idéologie de fer à laquelle on veut que les activistes croient et qu'elles soient certaines de cette idéologie. Oui nous avons des vies très dures, oui nous avons des relations entre nous qui ne sont pas des relations amicales, qui sont des relations de travail, et même si on veut, de guerrières, de soeur de sang. Mais effectivement, on ne va pas chez Femen comme on va au yoga le dimanche après-midi. C'est vrai qu'on n'est pas tendres les unes entre les autres".
Les Femen, un mouvement sectaire ?
Le député du Rhône Georges Fenech (UMP), président du groupe d'études sur les sectes à l'Assemblée, a adressé une lettre cette semaine au président de la Miviludes, Serge Blisko.
Selon le député du Rhône, ce mouvement, "d'origine ukrainienne, qui s'est enraciné en France, n'a pas hésité, en maintes occasions, à se livrer à des actions spectaculaires, qui s'apparentent à des pratiques à caractère sectaire : contestation violente de l'ordre social; contestation violente de l'ordre religieux établi; profanation de lieux de cultes, selon des méthodes répandues dans les mouvements satanistes; menaces contre les institutions, et en particulier contre le Chef de l'Etat; attaques répétées contre la laïcité..."
Georges Fenech demande à Serge Blisko de lui "faire connaitre la position de la Miviludes à l'égard de ce mouvement Femen, ainsi que les initiatives qu'elle pourrait prendre, telle que la demande de dissolution de l'association Femen, type loi 1901".
Un documentaire choc sur les Femen
Fin août - début septembre, a été présenté à La Mostra de Venise un documentaire sur les Femen, réalisé par l'Australienne Kitty Green. Un documentaire intitulé "L'Ukraine n'est pas un bordel" et pour lequel elle a suivi des militantes pendant plus d'un an. Elle y évoque notamment le rôle d'un certain Victor Svyatski, qui serait le fondateur et l'éminence grise des Femen, selon The Independent. "C'est son mouvement. Il a choisi personnellement les filles. Il a choisi les plus jolies filles parce que les plus jolies filles vendent plus de papier. Les plus jolies filles sont en première page... c'est devenu leur image, la façon dont elles vendent leur marque".
Selon la réalisatrice, "il pouvait être vraiment horrible avec les filles", jusqu'à les traiter de... salopes.
2013 09 13 Inna Shevchenko et son avocat sioniste Patrick Klugman avant le procès Femen.
Vendredi 13 septembre 2013 se tenait le procès de neuf membres du groupe féministe Femen pour dégradations présumées à Notre-Dame de Paris.
Nous avons demandé à Inna Shevchenko s’il y avait une relation entre le fait que son avocat soit sioniste, et le fait que les Femen n’aient jamais attaqué d’intérêts juifs en France… Pour rappel, en plus des actions dans la cathédrale Notre-Dame, les Femen ont déjà manifesté devant la mosquée de Paris.
2013 08 23 Les Femen islamophobe?
Le mossad est-il l'ami des femen ? amina sbouï quitte le mouvement psychiatrique femen ! elle a été manipulé par la milice sioniste : je ne veux pas être dans un mouvement où il y a de l'argent douteux. et si c'était israël qui finançait ? je veux savoir. et puis, je ne veux pas que mon nom soit associé à une organisation islamophobe. je n'ai pas apprécié l'action où les filles criaient 'amina ak - Amina Sbouï Dénonce La Manipulation Sioniste Des Femen...
Qui sont les scénographes et mécènes des Femen, ceux qui tirent les ficelles en toute impunité et financent généreusement cette farce féministe cynique, tyrannique et dégradante, dissimulant sous une nudité agressive des objectifs inavouables ?
La question, qui manifestement ne tourmente pas la République, au point de faire de la meneuse ukrainienne de la troupe, l’islamophobe notoire Inna Shevchenko au récent tweet accablant, la Marianne des timbres postaux (impensable !), se pose pourtant avec d’autant plus d’acuité que ce pitoyable théâtre de rue n’a jamais soulevé l’indignation de nos pasionaria du féminisme occidental, si promptes d’ordinaire à vampiriser les plateaux télé et les prétoires pour s’indigner avec force contre le port du voile ! Tout cela ne serait-il donc qu’une sinistre Tartufferie de plus sur la vaste scène islamophobe nationale et internationale, la fin justifiant les plus obscènes artifices ?
On ne s’attendait pas à ce que soit Amina Sbouï, la première Tunisienne à avoir revendiqué son appartenance aux Femen et à l’avoir prouvé en photos sur Facebook, qui mette à nu ses camarades « Topless » de manière aussi retentissante. La jeune femme de 19 ans a en effet décidé de quitter le mouvement, en appuyant là où le bât blesse : "Je ne veux pas être dans un mouvement où il y a de l'argent douteux. Et si c'était Israël qui finançait? Je veux savoir. Et puis, je ne veux pas que mon nom soit associé à une organisation islamophobe", a-t-elle déclaré dans une interview au Huffington Post Maghreb.
Et de pousuivre en enfonçant le clou : "Je n’ai pas apprécié l’action où les filles criaient « Amina Akbar, Femen Akbar » devant l’ambassade de Tunisie en France, ou quand elles ont brûlé le drapeau du Tawhid devant la mosquée de Paris. Cela a touché beaucoup de musulmans et beaucoup de mes proches. Il faut respecter la religion de chacun", a-t-elle insisté.
Source : http://oumma.com/29218/femen-tunisienne-quitte-mouvement-denoncant-islamophob
2013 07 16 Les Femen religiophobes ? Caroline Fourest préfère les lâcher...
À la suite du tollé provoqué par le tweet islamophobe des Femen, la journaliste Caroline Fourest ne soutient plus le groupe de sextrémistes. Condamnant cette « provocation » dans un tweet, elle se refuse à polémiquer sur le sujet. Les Femen perdent une alliée de taille.
La journaliste, écrivaine et féministe engagée Caroline Fourest n’approuve pas les opinions les plus extrêmes des Femen. Le 9 juillet dernier, Inna Shevchenko, chef de file ukrainienne du mouvement, publiait un tweet islamophobe décrivant la religion musulmane comme étant la plus moche qui soit. Un message qui a rapidement déclenché l’ire des internautes.
La perte d’un soutien précieux
Si la Femen s’est rapidement justifiée, arguant qu’elle était sous le coup de la colère après avoir appris qu’Amina - la Femen tunisienne incarcérée à Sousse - était obligée de suivre le ramadan alors qu’elle n’est pas croyante, l’attaque passe tout de même mal. Dans une interview accordée à Libération, elle explique ne pas être islamophobe mais plus largement religiophobe : des explications maladroites qui n’excusent en rien son tweet. Le mouvement en perd le soutien précieux de Caroline Fourest, pourtant très engagée dans le combat des Femen, notamment pour la libération d’Amina. La féministe avait même réalisé Nos seins, nos armes, un documentaire sur les sextrémistes.
Un « retournement de veste » malvenu ?
« Les tweets des Femen n’engagent qu’elles », explique Caroline Fourest dans un tweet, annonçant qu’elle n’envisage pas de « passer [son] été à commenter des provocations taillées pour 140 signes ». Si certains twittos l’accusent simplement de retourner sa veste, d’autres jugent plus durement son désaveu. Xavier Ternisien, son ancien collègue du Monde, réplique avec un néologisme : « Fourester », c'est à dire « avoir des amis quand ils nous sont utiles, les lâcher quand ça devient dangereux ».
Source : http://www.terrafemina.com/societe/societe/articles/28715-les-femen-religiophobes-caroline-fourest-prefere-les-lacher-.html
2013 07 14 TIMBRÉ Le nouveau visage de Marianne ne plaît pas à tout le monde.
Dimanche 14 juillet, François Hollande a dévoilé à l'Elysée le visage qui ornerait les nouveaux timbres distribués dès mardi dans toute la France. Il s'agit d'un dessin réalisé par les deux artistes David Kawena et Olivier Ciappa. Alors que la fabrication des nouveaux timbres est en route depuis deux mois, le secret avait été formellement gardé jusque-là sur le portrait gagnant parmi les quinze proposés au jury de lycéens. Sur Twitter, Olivier Ciappa a partagé sa surprise et sa joie quand son dessin a été dévoilé...
Pressé de questions sur Twitter, le dessinateur finit par expliquer que ce portrait de femme a été en partie inspiré par le visage d'Inna Shevchenko, l'une des fondatrices du mouvement Femen en Ukraine, qui aurait d'ailleurs reçu le statut d'exilé politique en France.
"Au départ, je voulais dessiner un visage mélangeant les traits de Roselyne Bachelot et de Christiane Taubira. Mais mes croquis n'ont pas fonctionné. J'ai alors remarqué qu'elles faisaient toutes deux un geste très gracieux de la main lorsqu'elles s'exprimaient longuement, en monologue. J'ai gardé ce geste dans ma Marianne.
Ensuite, j'ai voulu lui donner les traits d'une personne qui soit à la fois originaire d'Afrique du Nord, d'Europe de l'Est et d'Asie, afin d'offrir à cette Marianne une dimension hors frontières. Mais, comme on peut l'imaginer, le résultat sur ma planche à dessin était ridicule. Je me suis alors recentré sur des Françaises, comme Marion Cotillard. Pour finalement opter pour Inna, qui vient d'obtenir l'asile politique en France."
De son côté, la figure de proue des Femen jubile sur Twitter : "Femen est sur les timbres français. Maintenant, tous les homophobes, extrémistes et fascistes devront me lécher le cul quand ils voudront envoyer une lettre". Un message qui, c'est certain, n'apaisera pas le courroux des détracteurs des Femen.
Traduction : FEMEN est en français stamp.Now tous homophobes , extrémistes , fascistes auront à lécher mon cul quand ils veulent envoyer une lettre . (Les autres aussi d'ailleur)...
Source : http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/07/15/timbre-le-nouveau-visage-de-marianne-ne-plait-pas-a-tout-le-monde/
2013 07 09 Tweet islamophobe des Femen.
2013 06 29 Trois Femen manifestent seins nus dans une mosquée.
"Pas de charia en Egypte et dans le monde" : trois femmes ont protesté seins nus dans une mosquée de Stockholm, la capitale suédoise, ce samedi.
Trois militantes Femen ont manifesté seins nus dans une mosquée de Stockholm, ce samedi 29 juin, avant d'être interpellées par la police. Elles protestaient contre la charia en Egypte et dans le monde.
Il s'agirait apparemment d'une Egyptienne, d'une Tunisienne et d'une Suédoise, mais la police n'était pas en mesure de confirmer leur identité ou leur nationalité.
Ces trois femmes se sont précipitées à l'intérieur de la mosquée, ont arraché leur capes noires, dévoilant leurs seins nus sur lesquels figuraient des slogans : "Pas de charia en Egypte et dans le monde" et "Mon corps m'appartient, il n'est l'honneur de personne".
La mosquée était pratiquement vide à ce moment-là, à part deux employés et quelques journalistes qui avaient été prévenus de la manifestation. Les employés ont appelé la police. "Elles pourront être poursuivies pour trouble à l'ordre public et insultes" a indiqué le chef de la police Jonas Svalin, précisant que les employés de la mosquée avaient accusé les trois femmes de les avoir bousculés.
Source : http://www.rtl.fr/actu/international/trois-femen-manifestent-seins-nus-dans-une-mosquee-7762754261
2013 06 01 Elle a infiltré les femen - exclusivité Media Investigation.
Iseul Turan, étudiante en droit, a infiltré le mouvement des FEMEN pendant deux mois...
Elle a accepté d'accorder à MEDIA INVESTIGATION une interview exclusive, probablement la seule interview filmée, nous a-t-elle dit.
Iseul, qui voulait comprendre le phénomène des FEMEN, partagera l'expérience de son infiltration qui lui donne maintenant la légitimité d'être une spécialiste des FEMEN.
Iseul vous dira tout sur les FEMEN mais aussi sur l'antithèse de ce mouvement : les « Antigones » dont elle fait partie.
2013 05 29 FEMEN : LEUR LOCAL EST SUBVENTIONNÉ PAR LA MAIRIE DE PARIS.
Rien ne justifie l'emploi de l'argent public pour financer un mouvement à tendance extrémiste et venu de l'étranger.
Une jeune femme, infiltrée parmi les Femen pendant plusieurs semaines révèle que la mairie socialiste subventionne leur local parisien, dans les murs d’une salle de théâtre, le « Lavoir moderne parisien » (35 rue Léon, dans le 18e arrondissement).
Nul n’ignore que ce groupuscule soi-disant « féministe » importé d’Ukraine, aux méthodes polémiques et souvent violentes, bénéficie d’un soutien peu dissimulé de la part de plusieurs personnalités de la majorité politique. On ne s’étonnera pas dès lors de la faveur que leur témoignent les médias ni de l’indulgence des forces de l’ordre ; mais rien ne justifie l’emploi de l’argent public pour financer un mouvement à tendance extrémiste et venu de l’étranger.
Source : http://www.observatoiredesgaspillages.com/2013/05/femen-leur-local-est-subventionne-par-la-mairie-de-paris/
2013 04 09 La France accorde l'asile à la chef de file des Femen.
Inna Shevchenko, belle blonde aux cheveux longs de 23 ans, avait demandé l'asile en février et a "reçu récemment" la réponse positive de l'OFPRA, a-t-elle expliqué au téléphone à l'AFP.
L'Office n'a pas été en mesure de confirmer cette information, qui est "confidentielle", a précisé un de ses membres.
En application du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile (CESEDA), "la qualité de réfugié est reconnue à Mme Shevchenko Inna", qui "est placée sous la protection juridique et administrative de l'Office", précise le document.
Cette demande d'asile était "un choix stratégique", a expliqué la chef de file des Femen, car "pour développer le mouvement, nous avons besoin d'un lieu, d'un pays".
Elle a rappelé qu'elle était menacée de poursuites dans son pays pour avoir découpé à la tronçonneuse une croix orthodoxe pour protester contre la condamnation de trois membres du groupe Pussy Riot, qui avaient chanté une "prière punk" contre le président Poutine dans une cathédrale de Moscou.
Elle était arrivée en France en août 2012 avec un visa touristique.
Les Femen, un groupe de féministes ukrainiennes désormais installé à Paris et qui a fait des émules dans plusieurs pays du monde, est connu depuis 2010 pour ses actions "topless" pour dénoncer le sexisme, l'homophobie, la prostitution et la religion.
Source : https://fr.news.yahoo.com/france-accorde-lasile-%C3%A0-chef-file-femen-111258940.html
2013 04 03 Paris : les Femen brûlent le drapeau salafiste.
Les trois jeunes femmes, deux Françaises et une Tunisienne, ont déployé le drapeau noir des salafistes barré de la «chahada», la profession de foi des musulmans, sur le parvis de la Grande Mosquée, située en plein centre de Paris. Elles l'ont ensuite enflammé, alors que des membres du service de sécurité de l'édifice tentaient de les chasser à coups de pied.
Selon leur mode opératoire habituel, les trois Femen ont agi seins nus. «Arab women against islamists», «Freedom for women», «Fuck your morals», avaient-elles écrit sur leur torse.
«Nous voulons dénoncer l'extrémisme religieux musulman», a expliqué à la presse Inna Shevchenko, une des fondatrices ukrainiennes du mouvement, présente pendant l'événement qui n'a duré que quelques minutes. Pour la jeune femme, la Grande Mosquée de Paris a été prise pour cible car il s'agit d'un «lieu symbolique» de la religion musulmane.
«Nous voulons aussi exprimer notre solidarité avec la militante tunisienne Amina que des salafistes ont appelé à lapider», a-t-elle ajouté.
Une jeune fille, qui s'est identifiée sous le nom d'Amina Tyler, a fait scandale en Tunisie en publiant mi-mars sur internet des clichés d'elle la poitrine nue barrée des mots «mon corps m'appartient, il ne représente l'honneur de personne». En théorie, en agissant de la sorte, elle s'expose à des poursuites pour «atteinte aux bonnes moeurs», un délit passible de 6 mois de prison.
Les Femen, un groupe de féministes ukrainiennes désormais installé à Paris et qui a fait des émules dans plusieurs pays du monde, est connu depuis 2010 pour ses actions "topless" pour dénoncer le sexisme, l'homophobie, la prostitution et la religion.
Source : http://www.leparisien.fr/laparisienne/societe/en-images-paris-des-femen-brulent-le-drapeau-salafiste-devant-la-grande-mosquee-03-04-2013-2694109.php?pic=10#contTitre
2013 02 24 Pour approcher Berlusconi, les Femen avaient des cartes de presse.
Hier, dimanche [24 février, ndlr], la milice antichrétienne Femen avait envoyé trois de ses furies en Italie. Pas à Rome pour perturber l’Angelus prononcé par Benoît XVI, cela avait déjà été fait le 13 janvier dernier. Cette fois, elles intervenaient à Milan, au moment où Silvio Berlusconi se présentait à son bureau de vote.
Ci-dessous, les cartes de presse qui leur ont permis d’attendre Berlusconi au milieu des journalistes. Voilà qui pose une fois de plus la question de la collusion entre les FEMEN et certains journalistes aux accents très militants.
Quand le ministre de l’Intérieur va-t-il enfin sévir contre ce mouvement
FEMEN connu pour une longue liste de délits et une pathologie antireligieuse inquiétante ?
Source : http://www.egaliteetreconciliation.fr/Pour-approcher-Berlusconi-les-Femen-avaient-des-cartes-de-presse-16643.html
2013 02 12 les Femen seins nus pour "fêter le départ du pape" devant Notre-Dame.
Huit féministes du mouvement Femen se sont mises seins nus mardi matin sur le parvis de Notre-Dame de Paris pour "fêter le départ du pape" Benoît XVI.
"Crise de la foi", "Bye bye Benoît !" les féministes des Femen n'étaient que huit mardi matin pour "fêter le départ du pape" mais elles ont fait du bruit.
Entrées dans le flot des touristes, les huit jeunes femmes portaient de longs manteaux qu'elles ont ôtés à proximité de trois des neuf nouvelles cloches provisoirement déposées dans la nef.
Elles les ont fait tinter avec des morceaux de bois, criant en anglais "Pope no more" ("Plus de pape"). Sur le torse et le dos, elles avaient inscrit des slogans au feutre comme "No homophobe", "Crise de la foi", "Bye bye Benoît!".
Evacuées manu militari
Des visiteurs de la cathédrale ont exprimé leur consternation. "Ici c'est sacré, vous n'avez pas à vous dénuder ici", leur a dit une touriste française.
Elles ont été évacuées manu militari de l'édifice par le service d'ordre de Notre-Dame et sont restées devant la cathédrale une dizaine de minutes en continuant à scander des slogans comme "In gay we trust", ou "Dégage homophobe!"
Les Femen sont connues depuis 2010 pour leurs actions "topless" en Russie, en Ukraine, à Londres ou encore récemment sur la place Saint-Pierre à Rome pendant que le pape récitait l'Angelus.
Source : http://www.bfmtv.com/societe/femen-seins-nus-feter-depart-pape-446554.html
2012 11 19 Agression/Femen : Caroline Fourest porte plainte.
La journaliste et essayiste Caroline Fourest a déclaré aujourd'hui avoir porté plainte après avoir été agressée hier lors de la manifestation à Paris contre le mariage gay, ainsi que des militantes du mouvement féministe ukrainien Femen.
"J'ai porté plainte", a dit aujourd'hui sur Europe 1 la journaliste, qui était présente pour un documentaire sur le féminisme. "On m'a mise à terre" et "ma tête a heurté le trottoir", a-t-elle raconté. "On m'a tirée par les cheveux, tabassée, comme on peut imaginer les militants d'extrême droite tabasser des Arabes et des Noirs ou des femmes", a lancé la journaliste.
Les agresseurs l'ont reconnue après lui avoir arraché son bonnet. "C'est Caroline Fourest, cours sale pute, ont-ils scandé", a-t-elle raconté, puis "j'ai pris une deuxième raclée et ils m'ont encore rossée un petit moment dans le dos et à la tête". Elle a précisé qu'"en plus des slogans sexistes et homophobes, il y avait des slogans anti-journalistes".
Les incidents ont eu lieu au début de la manifestation contre le projet de loi ouvrant le mariage et l'adoption aux homosexuels, organisée à Paris par l'institut Civitas, proche des catholiques intégristes.
Source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/19/97001-20121119FILWWW00409-caroline-fourest-agressee-porte-plainte.php
2012 11 18 Fabrication de l’image, manipulation et guérilla urbaine.
Les Femen ont une stratégie médiatique très précise et leurs apparitions publiques suivent un scénario victimaire bien rodé. L’analyse d’images de leurs shows à Paris et Varsovie montrent précisément ce scénario. On verra également comment Caroline Fourest ment avec aplomb sur TF1 pour accréditer le scénario.
1. Le film des incidents de Paris
Après la manifestation du 18 novembre à Paris et suite aux incidents entre les Femen et une partie des manifestants, la presse avait développé la thèse d’une agression violente contre le groupe féministe. La séquence a été filmée sous plusieurs angles, en particulier par un cinéaste, Joseph Paris.
Ce dernier est leur filmographe attitré. Il a suivi les Femen à deux reprises. De la manifestation du 18 novembre il a fait un petit film. Film préparé puisque l’on voit d’abord le groupes sextrémiste se mettre en scène dans une sorte de rituel esthétisant, avant de prendre des images dans la rue. La manière de travailler du cinéaste consiste en quelques plans calmes. Puis après l’insertion du titre, la caméra est à l’épaule, ce qui produit l’effet du reportage de guerre sur le front. L’image est instable, la caméra balaie rapidement, perd parfois le sujet principal, prend des vues très partielles, courtes et souvent en gros plan. La scène est donc plus suggérée que démontrée.
Cete technique de prise de vue sert à provoquer un stress émotionnel fort et à priver le spectateur de la possibilité de vérifier la réalité des faits. La bande-son est particulièrement importante : c’est elle qui prend la place d’images précises. Dès lors le spectateur imagine ce qu’il entend sans le voir réellement.
Il faut être très attentif à cette bande-son, en particulier à partir d'1'35'' :
Ce film étant l’image officielle des Femen, les images présentées sont supposées être véridiques. Contrairement à ce que la presse et Caroline Fourest ont relaté on ne voit pas de Femen tabassée. Le groupe avance d’abord un long moment, librement, au milieu des manifestants. Elle crient continuellement le même slogan provocateur : « In gay we trust », « Nous croyons en l’homosexualité », scandé de plus en plus rapidement.
On les voit aller au contact, dans les rangs des manifestants, et faire usage de ce qui ressemble à
des extincteurs. Elles projettent le nuage de poudre soit vers le sol soit vers les visages. Il s’en suit une confusion, et des réactions du service d’ordre qui les repousse et prend leurs « armes ». Le nuage de fumée envahit la scène. La confusion des images brouillées par cet enfumage opaque et par la technique de prise de vue est une technique de dramatisation. Qui donc agresse dans cet incident ? On les voit non seulement au contact : elles provoquent également la réaction par les jets de fumée et leurs cris. L’agression débute donc
de leur côté à 1’10’’. A 1’20’’ elle commencent à être repoussées. Les manifestants se défendent. A 1’28’’ l’une est poussée, tombe et se relève. On ne voit pas de pluie de coups. Vers 1’32 une autre semble au sol sur les genoux. Elle continue à scander le slogan sans être maltraitée. On ne sait si c’est la même qu’avant, les images n’étant pas forcément dans un ordre chronologique. Dès 1’35’’ on va entendre à plusieurs reprises
des cris perçants comme s’il y avait une menace grave imminente ou une agression physique violente. On les voit alors rapidement repoussées hors du cortège. Elles continuent à pousser des cris comme des cochons qu’on mène à l’abattoir. Décidément, après le livre de Iacub sur DSK, le cochon, symbole d’abondance en Allemagne et en Chine, se porte bien. Les Femen l’ont bien compris.
A 2’05’’ elles se sont regroupées sans que l’on ne voie de blessures apparente. UneFemenIm-1.jpg vraie bastonnade produit des signes de contusions et de blessures nettement visibles, comme pour le jeune homme au t-shirt bleu couché au sol, agressé au Togo lors d’une bastonnade réelle.
A 2’17’’ une Femen isolée semble savoir exactement où aller pour provoquer le public devant un groupe de caméras, dont celle du réalisateur du film qu’elle cherche du regard avant d’aller se placer devant son
objectif pour faire un gros plan. On voit qu’elle est d’abord repoussée, puis qu’elle provoque en bousculant elle-même avant d’être à nouveau repoussée. C’est là qu’il semble y avoir une petite
gifle. On ne sait pas qui gifle : le mouvement vient presque exactement de la direction de l'opérateur qui filme. Coup monté ? Question légitime. Son regard
devient perdu, elle entre dans le rôle de la victime. Elle a tout fait pour et cela marche. Elle regarde alors toutes les caméras autour d’elle pour bien se montrer en gros plan et continue à provoquer en scandant le slogan. Elle reste un moment dans sa provocation sous l’oeil des caméras, puis va rejoindre son groupe sans être inquiétée. Dans cette séquence, de 2’35’’ à 2’40’’, on ne voit aucune marque de sang sur son visage ou sous son nez. Elle n’a pas reçu de coup visiblement violent. On voit par contre qu’elle est protégée par le service d’ordre de la manifestation.
A partir de 3’03’’, image de groupe avec reprise du slogan. On ne voit pas de dent cassée. Une marque qui semble être du sang sur le visage de celle qui s’était isolée devant la caméra. Elle pourrait provenir provient d’une narine, un saignement de nez. Est-ce dû à un coup ? On l’ignore, les causes précises n’étant pas visibles et pouvant être multiples.
On remarque tout au long de ce petit film que l’endroit de la provocation Femen est rempli de photographes et de caméras vidéos. Mais il n’y a aucun policier visible ! Provocation du pouvoir ? En tous cas les Femen ont une efficacité certaine pour faire jouer les relations publiques. On retrouve les images tournées sous les différents angles mis sur différents médias. Toutes parlent des Femen comme de victimes d’une agression.
Regardons maintenant un autre petit film officiel du groupuscule sextrémiste, réalisé encore une fois par Joseph Paris.
2. Varsovie, manif contre l’Eurofoot
Dans cet autre film on retrouve les mêmes éléments. Une longue préparation, une mise en scène des corps, un discours sous-titré inversé pour ajouter à la confusion, une dramatisation (1’55’’ à 2’05’’). A 5’40 la provocation commence avec les mêmes types de fumigènes et un slogan unique répétée ad libitum « Fuck you », « Enculés ». Elles vont au contact. La fumée sert donc de manière récurrente. Deux objectifs sans doute : mettre de la confusion sur la scène pour que la bande-son prenne le dessus sans que l’on voie ce qui se passe, et créer une ambiance de guerre. Les nombreux appareils photos et vidéo présents montrent qu’il s’agit avant tout de se faire voir dans la presse. A partir de 6’20 les cris redoublent d’intensité. La caméra à l’épaule ou sur la tête produit toujours cet effet de stress émotionnel et d’absence de recul sur la scène. Les cris stridents des femmes font croire à des agressions. Il semble simplement que la police est en vue. Dès 6’55’ les cris saturent la bande-son. L’effet-cochon est renouvelé ici pour laisser croire à une agression. De 7’ à 8’ environ la confusion des images et des cris est à son comble.
Il est clair que le scénario se répète. Il est préparé. Les techniques tiennent de la guérilla urbaine, militarisation en moins. Les Femen vont délibérément au contact, provoquent par leurs slogans et arrosent la foule de fumigène. C’est une agression caractérisée. Elle font cette mise en scène pour donner une impression de guerre et pour passer pour les victimes. Et cela marche. La presse fait d’agresseuses déterminées, préparées dans leurs camps d’entraînement, des victimes de la société. La stratégie de victimisation touche ici son paradoxe le plus extrême.
3. Caroline Fourest fourre du mensonge dans l’objectif de la caméra.
Un grand moment de stalinisme :
On voit aussi sur ce troisième extrait comment les images sont manipulées pour leur faire dire le contraire de la réalité.
Ces vidéos montrent donc des Femen organisées selon les principes du harcèlement de la guérilla urbaines développés il y a des années par des groupes maoïstes, mais dont le mode d’action ne dépare pas d’avec la droite la plus extrême telle qu’on la voyait à l’oeuvre dans les années 30 : provoquer et accuser l’autre d’être l’agresseur, pousser l'imaginaire dans ses retranchements morbides et bloquer le spectateur sur une position émotionnelle sans plus aucun recul. Dans cette sidération le spectateur peut être matraqué par les slogans et décervelés par une info biaisée. Le scénario des Femen est rodé et répété. Il est amplifié à Paris par une féministe à la mentalité stalinienne, Caroline Fourest. Cela va bien avec l'impérialisme mondialiste des Femen et avec l'omerta qu'elles maintiennent sur les questions gênantes. Des questions comme celles sur leur ex-représentante française, sur la provenance de l'argent dont elles disposent, sur leurs mentors politiques, sur le droit qu'elle se donnent au vandalisme et à l'agression.
Source : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/femen-fabrication-de-l-image-131356
2012 09 22 Révélations scandaleuses sur une organisation sulfureuse.
La journaliste d’une chaîne de télévision ayant infiltré l’organisation féministe ukrainienne a découvert des détails intéressants concernant le fonctionnement de l’organisation. Sa conclusion : les militantes ont pour objectif de se faire de la publicité et sont financées par des représentants des milieux d'affaires européens et américains.
Pour comprendre le fonctionnement de l’association FEMEN, une jeune journaliste de la télévision ukrainienne a intégré l’organisation et a participé à ses actions « seins nus » en filmant ce qui se produisait avec une caméra cachée. Elle a suivi pendant plusieurs semaines une initiation professionnelle à l’art de la scène et aux relations publiques, apprenant à se comporter agressivement pour attirer l’attention des journalistes et se présenter comme une victime innocente. Le plus important – c’est d'être à l’aise en montrant ses seins au public lors des manifestations.
La nouvelle recrue de FEMEN a fait ses débuts lors de l’action à Paris, où l’association a ouvert récemment un bureau. Les filles de FEMEN sont venues à Paris pour manifester devant le Centre culturel islamique de la capitale française. Selon la journaliste, elle ressentait littéralement sur sa peau les regards chargés de colère des gens, dont les sentiments religieux ont été délibérément offensés.
« L'action se déroule près du Centre culturel islamique et nous sentons que la foule est prête à nous déchirer en morceaux. Seuls les appareils photo de mes confrères nous ont sauvés du lynchage », a-t-elle dit après la manifestation.
Le voyage à Paris était offert à la journaliste par l’organisation FEMEN. Le billet d'avion, la chambre d'hôtel, les voyages en taxi et la nourriture coûtaient un millier d’euros par jour pour chacune des participantes, sans compter les frais de costumes, les services des maquilleurs et des stylistes.
La journaliste a également découvert que les activistes de FEMEN sont payées pas moins de 1000 dollars par mois, le triple du salaire moyen en Ukraine. En outre, le loyer que l’association verse pour son bureau de Kiev s’élève à 2500 dollars par mois, alors que le loyer mensuel du bureau parisien se monte à plusieurs milliers d’euros.
Malheureusement la nouvelle activiste n’a pas pu découvrir qui sponsorise le mouvement, ni découvrir la personne appelle les militantes à mener telle ou telle action de protestation. La journaliste suppose qu’il s’agit certainement de personnes qui apparaissent souvent aux côtés des militantes du mouvement. Il s'agirait notamment du milliardaire allemand Helmut Geier, de la femme d’affaires allemande Beat Schober, et de l’homme d'affaires américain Jed Sunden. Wikipédia soutient également la version selon laquelle ce dernier financerait les actions de FEMEN.
Source : http://fr.sputniknews.com/french.ruvr.ru/2012_09_22/femen/
2012 09 18 Les Femen inaugurent un "centre d'entraînement" à Paris.
Une quinzaine de militantes françaises et ukrainiennes du mouvement féministe ukrainien Femen ont inauguré, mardi 18 septembre, un centre dans le quartier populaire de la Goutte d'Or, à Paris. Accueillies en France par le théâtre Le Lavoir moderne, actuellement en difficultés financières, les Femen sont connues depuis 2010 pour leurs actions seins nus en Russie, en Ukraine ou encore à Londres.
Poitrine apparente sur la voie publique, elles entendent "partir en guerre contre le patriarcat et la dictature", a expliqué la militante Inna Chevtchenko, réfugiée en France depuis cet été pour avoir tronçonné une croix dans le centre de Kiev en soutien aux Pussy Riot condamnées en Russie.
En plein cœur du 18e arrondissement, les militantes se sont déshabillées devant de très nombreux journalistes, tandis que des passants brandissaient leurs smartphones pour immortaliser l'instant. "Nudité, liberté !" : les jeunes femmes, la tête ceinte de couronnes de fleurs et le corps peint de slogans, ont ensuite rejoint le théâtre tout proche, toujours suivies par une nuée de reporters et de curieux.
"SEXTRÉMISME"
"Nous ouvrons le premier Centre international d'entraînement pour les féministes [...], qui se transformeront en soldats", a déclaré Inna Chevtchenko, précisant qu'il s'agissait de les entraîner à "échapper aux policiers". "En France, les femmes n'ont pas honte de dire qu'elles sont féministes, mais dans mon pays, c'est tabou", a encore dit la militante.
"La France a beaucoup d'organisations féministes classiques, mais rien qui représente le nouveau féminisme", a-t-elle dit, définissant ce dernier comme du "'sextrémisme', du terrorisme pacifique". "L'intellectualisme ne fonctionne plus", a expliqué une autre militante, Nathalie Vignes, comédienne, qui se réclame pourtant de figures du féminisme hexagonal comme Elisabeth Badinter ou Simone Veil.
Source : http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/09/18/les-femen-inaugurent-un-centre-d-entrainement-en-plein-c-ur-de-paris_1761931_3224.html
Encore plus d'infos : http://raton-laveur-l-aigle.hautetfort.com/les-femen-en-france/
Source+ :
Femen site.
Agence Info Libre
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