(NDLR Veterans Today: La preuve satellite russe démontrant la démolition contrôlée du World Trade Center en utilisant des «armes spéciales» a été examinée par un éditeur de VT à Moscou. L'article ci-dessous nous a été transmis pour traduction depuis le russe et publication aux Etats-Unis. Il a été publié le 7 Février, 2015.)
Moscou (Pravda): des experts américains estiment que malgré le fait que les relations entre les Etats-Unis et la Russie sont au pire niveau depuis la guerre froide, Poutine n'a posé que des problèmes mineurs à Obama. Les analystes estiment qu'il s'agit du "calme avant la tempête." Poutine va frapper une fois, mais il va frapper fort". La Russie se prépare à publier les preuves de l'implication du gouvernement américain et des services de renseignement dans les attentats du 11 Septembre. Dans la liste des éléments de preuve se trouve des images satellites.
Les preuves qui seront publiées seront à même de prouver la complicité du gouvernement américain dans les attentats 11 Septembre et la manipulation réussie de l'opinion publique. L'attaque a été planifiée par le gouvernement américain, mais a été exécuté par procuration, de sorte qu'une attaque contre l'Amérique et le peuple des États-Unis ressemble à un acte d'agression du terrorisme international.
La raison de ces tromperies et le meurtres de leurs propres citoyens étaient de servir les intérêts pétroliers américains et les sociétés d'État du Moyen-Orient.
La preuve sera si convaincante qu'elle démystifiera totalement la version officielle du 11 Septembre soutenue par le gouvernement américain.
La Russie prouve que l'Amérique n'est pas étrangère à l'utilisation d'attaques terroristes sous faux drapeau contre ses citoyens afin de parvenir à un prétexte pour une intervention militaire dans les pays étranger. Dans le cas des "attentats du 11 Septembre", "la preuve sera une image satellite" concluante.
En cas de succès, les conséquences de la tactique de Poutine exposeraient les politiques terroristes secrètes du gouvernement américain. La crédibilité du gouvernement sera compromise et devrait se traduire par des manifestations de masse dans les villes menant à un soulèvement, selon les analystes américains.
Et qu'en sera-t-il des États-Unis sur la scène politique mondiale? La validité de la position de l'Amérique comme chef de file dans la lutte contre le terrorisme international sera totalement minée donnant immédiatement un avantage aux Etats voyous et aux terroristes islamistes.
Les experts avertissent que le développement actuel de la situation pourrait être bien pire.
Note Fawkes News: Si cette information se vérifie dans les faits, ce serait un sacré coup de pied dans la fourmilière. Même si les conséquences immédiates d'une telle révélation seraient fortement déplaisantes pour certains, ce serait infiniment préférable à une guerre mondiale et cela aura un impact plus grand que de simples sanctions économiques. Quand à l'identité de ce fameux proxy dans cette attaque, j'ai ma petite idée sur la question (Article 02). Il est grand temps que la vérité soit révélée au grand jour.
MAJ 12/02: Infowars suggère que cet article de Pravda serait une intox. Je ne peux confirmer ou infirmer car je ne connais pas la fiabilité de Pravda, par contre Gordon Duff a effectivement admis en 2012 que 40% de ce qu'il écrivait était de la désinfo (sinon il serait déjà mort selon lui).
Cela dit, je n'apprécie pas qu'infowars nous dise ce qu'il convient de croire ou pas du 11 Septembre. A mon avis, la piste saoudienne est une impasse entretenue sciemment par le gouvernement américain pour éloigner la responsabilité de leur gouvernement et de celle du Mossad. De nombreux éléments démontrent qu'ils sont tout deux impliqués. Impliquer 3 gouvernements, ça me parait un peu gros. Quoiqu'il en soit, attendons de voir la suite.
Watson a aussi dit je cite que l'affaire des pédo-satanistes à Londres était: "almost certainly a hoax" (presque certainement une blague). Il affirme cela sans en avoir aucune preuve.
11 Septembre: Le Mossad et son van prémonitoire plein d'explosifs (MAJ)
Le 11 Septembre, il y a eu un événement que peu de médias ont relayé et ceux qui l'ont fait ont vite enterré l'information, surtout en France ou cela a du passer encore plus inaperçu que la chute du bâtiment 7.
(MAJ): Les rapports font état d'au moins 3 vans. Le premier appartenant aux 5 israéliens qui filmaient et se réjouissaient des attaques, un second près du George Washington Bridge (le pont qui relie New York au New Jersey) qui était plein d'explosifs et dont les occupants ont été arrêtés et pour finir, ce van de la société Urban Moving Systems a été arrêté avec deux israéliens à son bord. Un enregistrement du NYPD indique que les occupants auraient tenté de fuir et que le van a explosé.
Mais ça ne s'arrête pas là. Ce van avait été décoré avec les tours du World Trade Center (bien en évidence par rapport au reste de l'image), un avion qui fonce droit dessus et qui explose approximativement à l'endroit de l'impact au niveau de la tour Nord.
Le van qui a explosé prêt de King Street.
Rapport d'un van arrêté plein d'explosifs près du pont. Celui-ci a été arrêté avant l'explosion.
Et les médias ont même rapporté l'explosion d'un autre van devant le département d'état:
Nous avions donc deux israéliens, travaillant pour une société, qui se révélera ultérieurement être une couverture du Mossad, avec des explosifs et un van qui montre précisément les attaques du 11 Septembre. Le fait que 5 autres israéliens, de la même société ait été arrêtés entrain de danser et de se réjouir alors que les tours étaient en feu démontre qu'ils n'étaient pas là par hasard. Les cinq personnes ont d'ailleurs été interviewés en guests stars à la télé israélienne à leur retour au pays et l'un d'eux a confirmé qu'ils étaient là pour "filmer l'événement", avouant du même coup qu'ils étaient au courant à l'avance.
L'arrestation des 5 israéliens (leurs témoignages démontrent qu'ils sont de très bons menteurs)
Israël et le 11-Septembre : une vérité censurée.
Contre-enquête. Dix ans après les attentats du 11 septembre 2001, il est temps d'aborder sérieusement la rumeur de l’implication israélienne en démêlant le vrai du faux. Première partie : qui sont ces Israéliens ayant manifesté leur joie durant l’opération terroriste de New-York ?Le motif ? Trois d’entre eux ont été aperçus dans la matinée aux abords de New-York en train de photographier et de filmer avec allégresse les tours embrasées du World Trade Center. Dès le lendemain, The Record –un quotidien de l’Etat du New Jersey- a rapporté l’incident.
Quelques jours plus tard, le journal israélien Haaretz a relayé à son tour l’information, se contentant d’évoquer un « comportement énigmatique » et une détention officiellement justifiée par une situation irrégulière de séjour. Entretemps, le New York Times rapporta également cette arrestation sans pour autant préciser, à l’instar de l’agence Associated Press et de Fox News, la nationalité des individus présentés simplement comme les potentiels complices au sol des terroristes. Quant au Washington Post, c’est le 23 novembre 2001 qu’il relata cet étrange épisode en précisant que les jeunes gens étaient des ex-militaires israéliens interpellés en possession de boîtes de cutters -ces armes de fortune dont se seraient servis les présumés pirates de l’air. Un élément d’information que le prestigieux quotidien qualifia sobrement de « problématique ».
Une affaire étouffée
Les cinq individus interpellés se sont présentés auprès des policiers comme les employés d’une entreprise de déménagement basée dans le New Jersey et dénommée Urban Moving Systems. Son dirigeant, l’Israélo-Américain Dominik Suter, a quitté brusquement le territoire des Etats-Unis en direction de Tel Aviv, trois jours seulement après leur arrestation et sans laisser de remplaçant à son poste. La veille de son départ, des policiers étaient venus brièvement lui rendre visite avant de repartir en ayant saisi dans les locaux de sa compagnie une douzaine de disques durs. L’homme a visiblement suscité depuis l’intérêt du FBI : dans un document préparé entre octobre 2001 et janvier 2002 par l’agence américaine à propos des réseaux terroristes, son nom figure dans la liste des suspects.
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Quant aux cinq employés au comportement étrange, ils seront relâchés après 71 jours de détention : Michael Chertoff, l’homme chargé au Département de la Justice de la traque anti-terroriste, permettra sous son autorité et après une tractation avec son homologue israélien- à ce que ces individus soient libérés, mis dans un avion et directement expédiés dans leur pays. Le FBI fera savoir par la suite qu’aucune charge relative aux attentats n’a été retenue contre eux.
Comment expliquer leur joie à la vue des tours en flammes du World Trade Center ? Le quotidien canadien The Globe and Mail rapporta le 17 décembre 2001 que le FBI avait développé les photos prises par le groupe : sur l’une d’entre elles, Sivan Kurzberg « allume un briquet devant les ruines fumantes dans un geste apparent de célébration ». Selon leur avocat Steven Noah Gordon, il s’agissait là d’une « attitude peut-être offensante » mais « non criminelle ». Une thèse qui sera relayée et soutenue en juin 2002 par ABC News lors d’une enquête spéciale entièrement consacrée à cette affaire : probablement immatures d’après la chaîne d’information, ces jeunes gens n’auraient disposé d’aucune information antérieure à propos des attentats.
Pourtant, trois mois plus tôt, un magazine influent de la communauté juive new-yorkaise The Forward avait révélé qu’un ancien haut responsable américain des services de renseignement affirma, sous couvert d’anonymat, que la compagnie employant ces Israéliens était une antenne sous couverture du Mossad et que deux des cinq hommes -chargés de « surveiller » les cellules islamistes- figuraient dans une base de données conjointe à la CIA et au FBI au sujet des espions étrangers.
Un avis partagé par un célèbre ex-agent de la CIA : longuement interrogé en 2008 par des partisans d’une nouvelle enquête sur le 11-Septembre, Robert Baer, spécialiste du Moyen-Orient, a confirmé l’appartenance au Mossad des Israéliens arrêtés dans le New Jersey. Il va même plus loin : selon lui, ces hommes étaient « positionnés » au préalable pour filmer -dès son commencement -l’attentat contre le World Trade Center.
Une affirmation corroborée maladroitement par l’un des cinq Israéliens : à leur retour au pays, fin novembre, ils furent invités dans un talk-show pour raconter leur mésaventure.
Bien qu’ils aient démenti faire partie d’un quelconque service secret, Oded Ellner a pour sa part reconnu -comme l’illustre cet extrait d’un documentaire américain réalisé par Marc Levin- que leur « but » consista bel et bien à « documenter l’évènement ».
Pourquoi manifester alors une telle jubilation ? Selon le journaliste d’investigation Christopher Ketcham, les Israéliens en détention avaient affirmé au FBI qu’ils étaient simplement persuadés que l’attaque terroriste contre le World Trade Center –identifiable en tant que telle dès l’impact du premier avion selon eux alors que la plupart des gens envisageaient alors un accident- serait en définitive « une bonne chose pour Israël » car elle rapprocherait l’opinion publique américaine de l’Etat hébreu.
« Les Palestiniens sont le problème »
En 2004, la britannique Channel 4 diffusa un reportage exclusif après avoir retrouvé la trace de trois d’entre eux. Ils continuent de nier toute appartenance au monde de l’espionnage alors qu’un ex-agent du Mossad, Juval Aviv, affirme de son côté (à 6’) que leur ancienne compagnie, Urban Moving Systems, était effectivement une base opérationnelle des services secrets israéliens.
Malgré ces témoignages concordants, quatre des cinq Israéliens n’ont pas hésité à déposer plainte, le 13 septembre 2004, contre l’ancien secrétaire à la Justice, John Ashcroft, pour leur avoir fait subir, selon eux, un traitement abusif. Cette procédure judiciaire n’a pas abouti. Et après examen de certains documents officiels récemment divulguées sur Internet, la demande de réparation pourrait bien s’apparenter -rétrospectivement- à une sinistre farce. A titre d’exemple, le rapport de police - relatif à l’arrestation des cinq Israéliens et discrètement mis en ligne au début de l’année 2011- confirme des informations rapportées jadis par de rares médias tout en dévoilant également de nouveaux éléments.
Deux extraits sont notables :
L’arrestation fut musclée : les Israéliens ont été physiquement contraints à sortir du véhicule avant d’être plaqués au sol. Le recours à une brigade spécialisée dans les explosifs a paru nécessaire. Plus loin dans le texte, une découverte originale dans le sac d’un des passagers est mentionnée : une chaussette dans laquelle sont dissimulés « 4700 dollars en cash ».
Le chauffeur du véhicule, Sivan Kurzberg, prononça à l’attention des policiers cette déclaration stupéfiante : « Nous sommes Israéliens. Nous ne sommes pas votre problème. Vos problèmes sont nos problèmes. Les Palestiniens sont le problème ».
Comment expliquer un tel message politique délivré par de prétendus déménageurs alors que vient de se produire un gigantesque attentat précisément imputé, dans un premier temps, aux « terroristes palestiniens du FDLP » ? A échelle réduite, une volonté d’instrumentaliser l’évènement pour renforcer les rapports entre Tel Aviv et Washington apparaît déjà.
Aux premières loges
Un autre épisode méconnu confirme l’attitude suspecte de certains Israéliens en ce jour du 11 septembre 2001 : sept ans plus tard, Glen Ford , rédacteur en chef du Black Agenda Report- un célèbre hebdomadaire politique de la communauté afro-américaine, raconta pour la première fois ce qu’il avait vu à New-York au moment des attentats. Une observation singulière : sa rencontre dans le Liberty State Park-au même lieu où se trouvent non loin trois des cinq Israéliens- avec deux jeunes hommes, au look « athlétique et militaire », qui affichaient un air satisfait en capturant-avec un équipement sophistiqué- les images de la chute de la seconde tour du World Trade Center.
A : emplacement du World Trade Center
Présents sur les lieux avant l’installation des barrages policiers, ces individus, s’exprimant « avec excitation » en hébreu et prétendant être des Polonais, ont également exhibé en riant de fausses cartes de presse à leur interlocuteur quand celui-ci s’est présenté en sa qualité de journaliste. Pour Glen Ford, cela n’a fait aucun doute : il s’agissait d’Israéliens évoquant davantage des espions sous couverture que des photoreporters polonais.
De la rumeur comme un leurre
Dans les prochains jours, Oumma.com reviendra en détail sur les autres aspects -notamment politiques et financiers- relatifs à la nature et à l’étendue de la connexion israélienne dans les attentats. Par ailleurs, nous dévoilerons des documents récemment déclassifiés par le FBI à propos de ces trois Israéliens exprimant leur joie face à la mort brutale de milliers d’innocents. D’ici là, continuez d’ignorer la légende antisémite -qui fait toujours écran de fumée- selon laquelle « 4000 Juifs » qui travaillaient dans les Tours jumelles ont été prévenus à l’avance de l’évènement.
Cette folle rumeur continue, dix ans après, à servir de prétexte aux injonctions proférées par certains faiseurs d’opinion à fermer les yeux. De même qu’il serait grotesque d’accuser d’islamophobie ceux qui estiment -parfois à juste titre- que des personnalités saoudiennes ou pakistanaises aient pu se compromettre dans la préparation des attentats, il est tout autant absurde de céder au chantage à l’antisémitisme en négligeant sciemment le rôle trouble de certains Israéliens. Pour dissiper l’épais brouillard qui recouvre encore la tragédie du 11-Septembre, l’examen des faits -d’où qu’ils proviennent- est un impératif méthodologique mais aussi -et surtout- un pari prometteur.
Réaction de Benjamin Netanyahu le 12 Septembre 2001:
Et une hémorragie de terreur, évidemment...c'est "très bon", d'après Netanyaou.
Il enfonce le clou en 2008 dans le journal Haaretz.
"Nous bénéficions d'une chose, et c'est l'attaque sur les tours jumelles et le Pentagone et la guerre américaine en Irak."
"Netanyahu indique que les attaques du 11 Septembre étaient profitable à Israël."
Mais à part ça, tout va bien, Israël n'a strictement rien à voir avec le 11 Septembre...dormons tranquilles. Après avoir tenté de couler l'USS Liberty 34 ans plus tôt et s'en être sortit sans même une petite tape sur les doigts du gouvernement américain, celui qui prétendrait qu'ils ont quoique ce soit à voir là dedans est forcément un antisémite patenté doublé d'un conspirationniste.
Puisqu'on vous dit que c'est un coup de Ben Laden et Sadam, financé par l'Arabie Saoudite, c'est comme ça, un point c'est tout.
Source : http://fawkes-news.blogspot.fr/2014/11/11-septembre-le-mossad-et-son-van.html
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