lundi 17 février 2014

France : Jamel Debbouze a commis un meurtre ?



Jamel Debbouze naît dans le 10e arrondissement de Paris le 18 juin 1975. Ses parents, originaires de Casablanca et Oujda, se réinstallent au Maroc en 1976, puis reviennent en France en 1979. Ils habitent Trappes dans les Yvelines à partir de 1983, où Jamel, l’aîné de la fratrie, Mohamed, Hayat, Karim, Rachid et Nawel Debbouze passeront leur enfance.

L'histoire :

Le 17 Janvier 1990, soit il y a quinze ans, Jean Paul ADMETTE, fils de Michel et Marlène ADMETTE, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes. Un train qui arrive à 150 km à l’heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Debbouze, cette célèbre main qu’il cache obstinément dans se poches. Marlène ADMETTE est catégorique : « c’est bien Jamel Debbouze qui a tué mon fils » annonce Marlène.


« J’affirme que Jamel Debbouze est l’assassin de mon fils, c’est lui qui a poussé mon fils sous le train » ne cessera d’admettre Marlène ADMETE. « Immédiatement après l’accident plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c’est Jamel Debbouze qui avait poussé mon fils sur la voie ferrée. Et c’est à ce moment là Que Jamel a lui-même été blessé à la main. Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de St Cyr l’Ecole, tous sauf une jeune fille africaine Edwige ANZOUANA qui persistera dans ses déclarations »

Jamel fut poursuivit pour homicide involontaire suite a la plainte déposée par les ADMETTE mais il obtiendra un non-lieu, et Jamel n’aura jamais dénié présenté ses excuses à la famille ADMETTE venu dans l’Ile de la Réunion pour rendre hommage à leur fils disparu. Jamel était venu dans l’Ile de la Réunion du comique en Janvier, à cette occasion les ADMETTE ont rappelé à l’humoriste le passé, un passé que l’enfant de Trappes avait intérêt, semble-t-il, à dissimuler. Ses représentations ont donc été annulées pour cause de « maladie ».

« Il n’est pas malade. Il a eu peur c’est pour cette raison qu’il n’est pas venu. Mais on ne lâchera pas. Il faut que la vérité éclate » conclut Michel. « Jamel Debbouze dont je peux encore vous donner l’adresse à Trappes, 19 rue du Moulin de la galette, était connu comme un délinquant comme un voleur de voiture à Trappes. Il est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 h. Jamel était accompagné de deux autres personnes des « zoulous ». Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. Et ensuite le drame est arrivé. Tout ça parce que Jamel, qui n’a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à piégé mon fils en lui cachant qu’ils était accompagné de voyous qui en voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l’on a d’ailleurs jamais retrouvé. On ne nous a rendu que le corps. Oui je c’est bien Jamel qui a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie ferrée » dénonce Marlène.
Source : Israel Magazine (André Darmon)


La vérité sur le bras de Jamel Debbouze.

27 juillet 2006
Télérama : C’est en courant, déjà, que vous avez eu l’accident qui vous a coîté le bras droit. A quel âge ?

Jamel Debbouze : Je ne sais plus. 10, 14, 16 ? J’ai occulté. Fallait oublier. Pas le temps de perdre du temps à m’apitoyer sur mon sort. Courir sur les rails du RER pour attraper le bus, on faisait ça avec les copains pour faire les malins. Ce soir-là, y avait personne pour nous regarder, on l’a fait quand même et mon copain est mort. On me l’a craché pendant un mois. J’étais trop déstabilisé. Pourtant, dès que je me suis réveillé de l’opération, j’ai demandé un crayon pour écrire de la main gauche. J’en rêve encore. Je prend ma douleur à crédit. Je m’accorde une petite souffrance, et puis rien pendant six mois. Au bal, on doit danser même si l’on n’est pas masqué. Moi, je ne veux être niqué ni par mes joies ni par mes peines. Le bonheur, ça n’existe pas.
(Voir l'article entier)

Clicanoon : Journal de l’ile de la Réunion. 

Article : La famille Admette manifeste à Saint-Gilles
5 décembre 2004

L’annulation des spectacles de Jamel Debbouze au théâtre de Saint-Gilles n’a pas refroidi Michel Admette et les siens. Le ségatier réunionnais est venu manifester hier sous le panneau annonçant les spectacles de l’humoriste. “On veut la vérité sur la mort de notre fils. On ne lâche pas le morceau. Pour nous, Jamel n’a jamais dit la vérité”.

Michel Admette est plus déterminé que jamais et se dit prêt à aller jusqu’au bout, à savoir la réouverture du dossier concernant la mort de son fils. le 17 janvier 1990, les Admette vivent un véritable drame. Leur fils Jean-Paul meurt écrasé par un train lancé à 150 kilomètres à l’heure en gare de Trappes, dans les Yvelines. Dans quelles conditions le drame s’est-il produit ?

La famille de la victime met aussitôt en cause Jamel Debbouze (nos éditions d’hier et d’avant hier). “Il est venu chercher mon fils ce jour-là. Il était 5 h. Jamel était accompagné de deux autres personnes. Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus. Puis dans le train. Et ensuite le drame est arrivé”, selon Michel Admette.

Mais après enquête, puis audiences en première instance et cour d’appel, Jamel Debbouze bénéficiera d’un non-lieu. Pour la famille Admette, cette mise hors de cause ne signifie pas “innocence”. Aujourd’hui installés dans l’île, Michel Admette et sa famille voulait profiter de la tournée dans l’île de Jamel Debbouze pour rappeler ce drame vieux de quatorze ans.

A défaut de rencontrer l’artiste, symboliquement, hier, tout la famille a posé sous le panneau annonçant la venue et l’annulation des spectacles de Jamel Debbouze. “Il n’est pas malade. Il a eu peur, c’est pour cette raison qu’il n’est pas venu. Mais on ne lâchera pas. Il faut que la vérité éclate”, conclut Michel Admette.

Communiqué de presse.......

Articles de presse parlant de cette affaire 

L’article de la presse réunionnaise

Il y a à La Réunion un chanteur de séga trés connu du nom de Michel Admette. Son fils Jean-Paul est parti en région parisienne pour finir ses études. Le 17 janvier 1990 il est agressé sur un quai de gare à l’arrivée du train Nantes-Paris, par des jeunes qui veulent lui voler son blouson ; Jean-Paul résiste, un de ses agresseurs le pousse en contrebas. Jean Paul meurt. Celui qui l’a poussé a un bras arraché ; il ne présentera jamais la moindre excuse aux parents de JP.

Jamel poursuivi par son passé

C’est avec beaucoup de regrets, on peut s’en douter, que Music Machine a dû annoncer l’annulation du concert de Jamel Debbouze. « Un artiste qui était vraiment ravi de venir à la Réunion », nous explique Franck Eucat. « Nous étions ensemble à Strasbourg il y a quelques jours et il se montrait impatient à cette idée. Il avait d’ailleurs choisi d’inviter sa famille à l’accompagner, les enfants de ses frères notamment et c’est dans un esprit de fête et de grande convivialité que le voyage se présentait".

Malheureusement, le certificat médical reçu mercredi soir a mis fin à l’aventure. "Nous avons bien essayé de repousser les spectacles de quelques jours mais le médecin de Jamel a été formel : impossible pour l’humoriste de se déplacer et surtout de prendre l’avion avant une bonne semaine. C’est une question de santé et, dans ce cas-là, artiste ou pas, on doit s’incliner », ajoute le boss de Music Machine.

Il se déclare navré de ne pas pourvoir satisfaire les fans réunionnais de Jamel Debbouze qui ont déclaré leur engouement dès les premiers jours de la vente des billets au point que, ultra rapidement, les quatre soirées ont affiché complet. « C’est le genre d’inconvénient qui nous arrive en moyenne trois fois par an sur les quelque 300 concerts que nous organisons en métropole. Ici ça ne nous était jamais arrivé et là nous mesurons le surcroit de difficultés que cela peut représenter », souligne encore Franck Eucat.

D’autant que le staff du spectacle de Jamel Debbouze, soit une quinzaine de personnes, à pied d’œuvre pour rien, ne peut pas rebrousser chemin sur le champ compte tenu des difficultés que rencontre le transport aérien entre Réunion et Paris ces jours-ci. « De toute façon, notre premier objectif est de régulariser la situation des spectateurs et de ne pas agraver leur situation. Nous nous y employons avec l’ODC. Pour tous, public, artiste et organisateurs, cette défection est une énorme déception, croyez bien que nous en sommes désolés ».

Voilà donc la version très officielle de ce désistement. Il en existe une autre qui porte la rumeur sur le champ du fait divers plutôt que celui du spectacle.

Elle évoque le souvenir douloureux d’une mort violente à laquelle Jamel Debbouze s’est trouvé associé le 17 janvier 1990. Celle du fils de Michel Admette. Agressé sur un quai de gare à l’arrivée du train Nantes-Paris par une bande de jeunes qui en voulaient semble-t-il à son blouson, Jean-Paul Admette s’est trouvé précipité sous le train.

« Et il a perdu la vie alors que Jamel Debbouze n’y a laissé qu’un bras », s’insurgent Michel et Marlène Admette qui ne parviennent pas à faire le deuil de leur enfant et tiennent Jamel Debbouze pour responsable de cette disparition.

« Il le sait parfaitement et c’est la seule raison pour laquelle il a eu peur de venir à la Réunion », estime le chanteur avant d’ajouter, visiblement accablé : « C’est un problème de conscience. Il a un mort sur son cœur... il a eu peur ». Et faisant signe à son épouse, il lui laisse expliquer plus en détail les raisons qui auraient poussé Jamlel Debbouze a déclaré forfait. « C’est que nous l’attendions ! Il ne pouvait pas l’ignorer. Nous avions tout préparé pour aller manifester pendant ses spectacles, regardez ! ... ».

Et Marlène de ramasser les banderoles, les affiches qu’elle tient prêtes depuis des semaines et le contenu des dossiers dont elle ne se sépare plus jamais. L’acte de décès de Jean-Paul, des photos de Jamel au moment du procès, avec ses parents, des journaux, des plaidoiries, des compte rendus du tribunal, qu’elle a réunis durant toutes ces années pour témoigner au grand jour du calvaire qu’est devenue leur existence depuis ce 17 janvier de triste mémoire.

« Imaginez-vous que cet homme-là n’a jamais daigné présenter des excuses jusqu’à maintenant. Et il allait venir ici, chez nous, là où est enterré notre enfant, mort pour un blouson ?!! Nous avons tout organisé pour manifester, voilà pourquoi il n’est pas venu.

Seulement, qu’il ait fui ne nous fera pas changer d’avis. Demain samedi nous irons en famille, avec nos amis, manifester au théâtre de Saint-Gilles dès 17 h, le deuil toujours dans le cœur mais soulagés qu’il n’ait tout de même pas osé ajouter le sacrilège à l’infamie ». Le rire ne pouvait décemment pas être d’actualité. Mais si c’est bien là la raison de son forfait, on peut s’étonner que Jamel Debbouze ait accepté en amont, de venir se produire à la Réunion.

Par Marine Dusigne
Source : http://www.libertyvox.com/phpBB/viewtopic.php

Jamel Debbouze: l'heure de vérité.

11/01/2008

Ce livre n'a pas eu de retentissement médiatique. Il est passé presque inaperçu depuis sa sortie, début janvier. Deux journalistes viennent de signer une biographie "non-officielle" de Jamel Debbouze. La première consacrée à la "star des banlieues".

Marie Jocher et Alain Kéramoal, avec ce "Jamel Debbouze, la vérité" abordent le parcours atypique et exceptionnel de ce fils d'immigrés marocains, enfant d'une cité difficile, Trappes (Yvelines), devenu en quelques années, millionnaire et people grâce à sa tchatche, son humour et son talent de comédien.

A trente-deux ans, la vie de Jamel est déjà un roman. Un roman de vie, de larmes, de joie, de tristesse. Mais aussi un roman où la part d'ombre transparaît. Comme dans toute vie.

Pour arriver à leurs fins, les deux journalistes ont interrogé, durant plus d'une année, une centaine de personnes de l'entourage de l'humoriste. Un livre qui se dévore comme un roman, qui nous permet de mieux saisir l'itinéraire de celui qui est devenu un véritable symbole de toute une jeunesse. L'enfance de Jamel n'est pas particulièrement celle d'un enfant gâté. Mais à aucun moment de cette période fondatrice, la douceur de vivre et la chaleur humaine de la famille ne sont absentes.

Le livre revient sur les circonstances de la tragédie qui a frappé Jamel, ce 17 janvier 1990. L'humoriste perdra l'usage d'un bras. Son copain, le jeune réunionnais, Jean-Paul Admette, a perdu la vie. Bien entendu, le titre du livre "Jamel Debbouze, la vérité" nous fait penser que nous allons connaître la "vraie" version de ce drame.  Une version qui diffère quelque peu de celle que les parents du jeune Jean-Paul apportent cette semaine dans Paris-Match.

Dans le livre, les journalistes écrivent : "Avec l'un de ses amis, Jamel a préféré traverser les voies en gare de Trappes plutôt que d'emprunter le souterrain. Le lendemain, Jamel est vivant mais cloué sur son lit d'hôpital, le bras droit hors d'usage. Son copain, en revanche, ne s'est pas relevé du passage à 130 km/heure du rapide Nantes-Paris."

Une affirmation qui n'est pas celle de la famille Admette. Les parents précisent que leur fils aurait été agressé sur le quai de la gare à l'arrivée du train Nantes-Paris par une bande de jeunes qui en voulait à son blouson. C'est ainsi, à la suite d'une bagarre, que le jeune pote de Jamel aurait été précipité sous le train. Cette zone d'ombre semble poursuivre Jamel.

Le livre de Marie Jocher et Alain Kéramoal évoque également la polémique qui va naître à la suite du décés du jeune réunionnais.
Notamment, en décembre 2004, quand Jamel qui devait se produire sur une scène à La Réunion, annule sa prestation... Les parents du jeune Jean-Paul avaient organisé une manifestation contre cette venue de l'humoriste. A l'époque, dans les colonnes du Journal de l'Ile de la Réunion, les époux Almette criaient leur colère : "Jean-Paul a perdu la vie alors que Jamel Debbouze n'y a laissé qu'un bras. Il le sait parfaitement et c'est la seule raison pour laquelle il a peur de venir à La Réunion... Il a un mort sur son coeur."

Le livre sur Jamel a au moins le mérite d'aborder l'artiste Debbouze à travers l'ensemble de sa vie, s'en vouloir en occulter telle ou telle partie. On lit avec délectation le parcours atypique d'un Jamel qui au sommet de sa gloire est un véritable bulldozer. Rien ne semble l'arrêter. Surtout pas les financiers quand il a besoin de trouver du "pognon" pour monter un projet avec des potes.

Avec des témoignages intimes, des révélations sur quelques rencontres décisives, souvent ignorées, le livre nous conte le véritable itinéraire de ce magicien de la comédie qui utilise la langue à la vitesse d'un fusil-mitrailleur pour mieux régler ses comptes avec une société qui ne fait pas de cadeaux à cette jeunesse issue de l'immigration et qui ne demande qu'un peu de considération pour émerger des ghettos dans laquelle on l'a enfermée.

Djamel Debbouze en est la preuve concrète.

Sources :
- "Djamel Debbouze, la vérité" éditions du seuil
- Le JDD
- Le Journal de l'Ile de La Réunion
Source : http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2008/01/11/1081053_djamel-debbouze-l-heure-de-verite.html

La « sale affaire » de Jamel Debbouze

Un livre de l’écrivain-journaliste Bernard Violet revient sur la vie du comédien humoriste et nouveau marié. Et s’interroge sur le mystère de l’accident qui lui a fait perdre son bras…

Dans Jamel Debbouze, l’as de cœur, qui vient de paraître, l’écrivain-journaliste Bernard Violet dresse un portrait très élogieux de l’artiste franco-marocain. Un surdoué de la scène, du cinéma, de la télévision. Toutefois, la vie de Jamel ne manque pas de zones d’ombres, à commencer par l’accident qui lui a fait perdre l’usage d’un bras.

Le chapitre est intitulé « Une sale affaire ». Le 17 janvier 1990, peu après 20 heures, deux jeunes gens sont fauchés par le rapide Nantes-Paris en gare de Trappes. Jean-Paul Vaïty, un Réunionnais, est tué sur le coup. Jamel Debbouze s’en sort avec de graves blessures. Après avoir risqué l’amputation, il perd définitivement l’usage de son bras droit. Est-ce un malheureux accident ou autre chose ?

Un livre de Bernard Violet

Voleur de vestons
Pour la famille Vaïty, leur fils Jean-Paul était doux et sociable, «  toujours prêt à rendre service ». En revanche, Jamel, alors âgé de 14 ans et demi, traîne derrière lui une réputation de « voyou », « de casseur et de dépouilleur ». Il aurait tenté de voler le superbe blouson au col de fourrure, avec plaque de shérif sur le cœur, de Jean-Paul. En se défendant, ce dernier serait tombé sur les voies, entraînant son agresseur.

L’accusation est très grave. Elle n’a pas été retenue par la justice, qui a prononcé à deux reprises un non-lieu. Mais les parents de Jean-Paul continuent à mettre en cause l’artiste à la « tchache » légendaire. Ils ont même recruté un détective privé pour relancer l’affaire, en vain. Bernard Violet, qui a passé près de deux ans pour écrire sa biographie, a interrogé beaucoup de témoins.

« L’attitude de Jamel Debbouze n’est pas claire dans ce drame. Quand je lui ai posé la question en février 2008, lui, habituellement si bavard, s’est contenté de répondre : ’Pour moi, c’est une affaire on ne peut plus claire. Il y a eu un non-lieu. La justice a parlé’  », raconte le biographe. Bernard Violet constate que Jamel Debbouze « n’est jamais allé voir la famille de la victime ».

Un témoin muet
Devenu riche et célèbre, « il n’a jamais non plus fait un geste en leur faveur ». Interrogés par le magistrat instructeur, certains témoins disent avoir vu deux garçons sur les voies, mais sans assister à une bagarre. En revanche, une jeune femme, Edwige A., raconte à des amies qu’elle a bien vu Jamel pousser Jean-Paul sur les voies. Mais pour elle, pas question de témoigner devant les policiers. On est en banlieue, et elle a bien trop peur car il s’agit d’un meurtre.

Edwige A., âgée de 17 ans au moment du drame, refuse, selon Bernard Violet, à trois reprises de déférer aux convocations du juge. Faute de témoins, les magistrats de la cour d’appel de Versailles confirment en mars 1993 l’ordonnance de non-lieu signifiée deux ans plus tôt. Interrogée en septembre 2007 par Bernard Violet, Edwige A. déclare par téléphone : « J’ai peut-être pu dire que j’avais vu l’un des garçons pousser l’autre, mais le mot "meurtre" me semble très grave et ne faisait en tout cas pas partie de mon vocabulaire ». Quant aux trois convocations du tribunal, Edwige A. prétend n’avoir jamais été au courant.

En décembre 2004, Jamel Debbouze, qui a triomphé au cinéma dans Astérix, est attendu dans l’île de la Réunion pour quatre spectacles. La famille de Jean-Paul décide d’organiser une manifestation avec des amis, équipés de banderoles aux slogans vengeurs contre l’artiste. Jamel annule son déplacement dans l’océan Indien quelques heures avant de prendre l’avion.

Lire ou relire dans Bakchich :

La taupe de « Bakchich » au mariage de Jamel Debbouze
Encadrés de grandes bâches blanches pour se préserver des paparazzi, Jamel et Mélissa Theuriau ont commencé à se marier mercredi en France et continuent la fête jusqu’à dimanche à Marrakech. Au Maroc depuis jeudi soir, les happy few assistent au mariage (…)

« Jamel Debbouze, l’as de cœur », Bernard Violet, Fayard, 359 pages.
Source : http://www.yanndarc.com/article-20149524.html

AVoir :
Dieudonné : les libertés foutent le camp. Quenelle!
Quelque chose de grave se prépare...
Le Sida et d'autres virus ont bien été créés en laboratoire par les Etats-Unis dans un but génocidaire.
Aide : Etre anonyme sur Internet Partie 1.

3 commentaires:

  1. de deux choses l'une:
    ou djamel était un amis de leur fils et le minimum est de venir présenter ses condoléances à la famille.
    ou bien alors djamel était un FAUX amis...

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  2. Ferme ta geule assassin,bravo pas de couilles et c'est sensuré en plus les méssages

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  3. L'amitié se résume sur le pouvoir et l'argent pour ce style de personnage, voir avec Dieudo par exemple, et surtout dans sa nouvelle communauté pro-sioniste...

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